Au cœur d’or de la rose perpétuelle,
qui s’élève d’étage en étage et se répand le parfum
des louanges au soleil de l’éternel printemps,
comme celui qui veut parler et se tait,
Béatrice m’entraîne et me dit : Admire,
comme est grand le couvent des blancs habits !
Dante Alighieri, La Divine Comédie, le Paradis XXX 124-129
Béatrice et la rose céleste
Huile et acrylique sur tissu jacquard – Oil and acrylic on jacquard fabric – 64×78 cm
© 2022 LEROY Christian